Bakéké

Bakéké

Dans ce spectacle muet, la tête pleine de rêves, Fabrizio Rosselli incarne un personnage aussi saugrenu qu’intrépide qui façonne des pyramides.Des pyramides de seaux (“bakéké” en hawaïen). Empreint d’un souci de perfection ou peut-être d’une folie passagère, l’artiste les manipule toujours avec précision, comme à la recherche d’une organisation optimale qui ne le convainc jamais.

Dans un rythme endiablé, il fait, défait et refait ses constructions géométriques. Un défi parfois risqué, fait de nombreuses péripéties, que ce poète de l’idéal contourne avec humour, obstination et finesse. Parce que pour lui, clown délicieusement imparfait, l’objectif n’est pas la réussite mais bien le chemin emprunté pour rêver, jouer et tenter.

Distribution : Interprétation : Fabrizio Rosselli
Regard extérieur et aide à la mise en scène : Etienne Manceau, Giorgio Bertolotti
Collaboration artistique : Pierre Deaux, Christian Coumin
Régisseuse générale : Hélène Couet-Lannes

Les gestes sont précis, les gags, fertiles en imprévus, poétiques aussi. Laissez-vous séduire par ce doux rêveur, obstiné et téméraire. (Télérama)
Clown espiègle, très drôle, moqueur (de lui-même), poète et rêveur. (La Dépêche)
Il montre bien à quel point la recherche de perfection de l’être humain peut conduire au ridicule. (La Dordogne Libre)